Thomas Hadjeras
Psychologue
Mon parcours de psychothérapeute
Psychologie :
Diplômé de l’Université de Besançon en Psychologie Clinique et psychopathologie en 1999, j’ai travaillé de nombreuses années dans l’accompagnement à la parentalité, sous la forme de soutien psychologique à l’adulte, l’adolescent ou l’enfant.
La psychologie clinique est la branche de la psychologie qui a pour spécificité de mettre en lumière les souffrances de l’être humain et de proposer un accompagnement permettant de les dépasser et de vivre une vie plus sereine et épanouissante.
Très tôt dans mon parcours professionnel, je me suis rendu compte que les difficultés et les défis qu’un être humain rencontre dans sa vie sont liés à la gestion émotionnelle des situations qu’il va rencontrer sur son chemin. C’est pourquoi j’ai continué à explorer différents domaines et techniques apportant une compréhension de l’être humain, de ses souffrances, de ses espoirs, de ses failles, de sa nature profondément bienveillante et de la manière de les traiter.
Thérapie émotionnelle :
Ainsi je me suis formé à la thérapie émotionnelle, modalité qui permet de retrouver un lien plus sain avec nos émotions et de les vivre non plus comme une difficulté ou comme des ennemies mais pour ce qu’elles sont vraiment, c’est à dire des informations importantes, voire essentielles, sur ce que nous vivons et sur ce que nous devons changer ou faire évoluer dans notre vie.
Ces techniques, lorsqu’elles sont utilisées en thérapie, permettent de tourner le regard vers l’intérieur, avec douceur et ainsi d’aller à la rencontre des émotions, des blocages psychologiques, des souvenirs douloureux ou des questionnements sur ce que l’on souhaite faire de sa vie avec un sentiment d’apaisement. Cela facilite la mise en mots et donc favorise la compréhension de ce qui fait souffrance.
Hypnose :
Toujours dans ce même état d’esprit, je me suis ensuite formé à l’hypnose Ericksonnienne, auprès de l’école française d’hypnose. Utilisé en psychothérapie, cela permet, lorsqu’il y a des blocages dans l’accès à l’inconscient, de retrouver plus facilement ce qui a contribué à l’apparition des symptômes et de la souffrance et de déprogrammer l’inconscient.
EMDR :
Dernièrement, je me suis tourné vers l’EMDR-DSA. Je remercie les clients qui m’ont interpellé sur cette pratique. En me renseignant, j’ai pu découvrir qu’effectivement, l’EMDR-DSA constitue un outil on ne peut plus utile dans le travail sur l’angoisse, la dépression, le stress, etc.